Cette action en justice vise à faire appliquer la jurisprudence de la Cour de justice de l’UE sur la conservation généralisée de données de connexion et l’analyse de celles-ci en temps réel (loi relative au renseignement du 24 juillet 2015).

À la suite de l’arrêt de la CJUE, l’affaire retourne désormais au Conseil d’État français.